Malfiros Drendor

Invité

Bonne lecture ^^

Nom: Drendor
Prénom: Malfiros
Date de Naissance: Inconnu
Signe astrologique: Bélier
Age: environ 20 ans
Gênes: Coordinateur
Camps: Scandinavie

Physique:

Malfiros est de race blanche, sa corpulence est athlétique et sa silhouette agréable. Il mesure dans les 1m80. D’un port noble et élancé, le jeune homme en associe une démarche souple et sûre. Il possède une grande cicatrice partant du milieu pectoral droit et faisant le tour par la gauche descendant sur le coté, pour remonter dans le dos jusqu’a l’omoplate gauche. Une cicatrice qu’il garde secrète en portant des uniformes impeccables ou des chemises amples en dentelle.

De visage, Malfiros est loin d’être désagréable, ses cheveux auburn descendent en une mèche sur son œil droit, tandis que le reste encadre son faciès en douceur. Un masque serin est toujours affiché, imperturbable aussi surement qu’un arbre n’affichant aucune émotion lors de la perte de ses feuilles en automne.

Le jeune homme à les yeux jaune or, prenant tout leur éclat au couché du soleil ou dès l’aurore, lorsque les rayons brillants sont dans l’alignement du regard. Cependant, ces yeux n’ont rien de réjouissant bien au contraire. On sent une certaines profondeur en eux, un mal de vivre certain. Mélancolie, tristesse, appelez cela comme bon vous semble, mais c’est peut-être tout autre chose, simplement la perte des illusions que l’on se fait sur l’humanité, le poids du devoir. Bref, bien des choses mystérieuses et sans doute impalpables.

D’ordinaire Malfiros porte des tenues type uniforme comme évoqué précédemment. Il aime le souci du détail et de la propreté, sans doute dut à une éducation stricte. En l’occurrence, respecter les autres c’est commencé par ce respecté soi-même, dans cette logique, une tenue toujours impeccable et irréprochable est de bons alois. Malfiros arbore d’ordinaire un ciré de cuire noir, un jabot rouge, une paire de botte et un pantalon assorti à son manteau. Un sabre de cavalerie à garde panier or, pend à sa ceinture. Evidement, on ne peut-être en permanence en costume strict, d’apparat ou de cérémonie. Aussi, le jeune homme optera pour des chemises amples et pantalon en fibres souples ainsi qu’une paire de chaussure de ville type mocassin à la fois élégante et confortable.

Caractère:
D’une nature assez calme, Malfiros est une sorte de volcan qui boue lentement avant irruption. Tout se passe à l’intérieur de lui, peine, colère, sentiment de frustration, d’impuissance… Les sentiments plus positifs s’afficheront en revanche mais sans éclat, un souri, les yeux légèrement plissé. Il pourrait ressembler à un grave introverti s’il n’avait un tel jeu d’apparence. En effet, son allure stricte et distinguée, fige déjà son personnage dans une caricature de droiture sereine. Cependant, pour atteindre cet état, il aura fallut encaisser au préalable de nombreux coups moraux. Ce mélange de rigidité et d’introvertisme donne au final un personne sereine malgré tout, semblable à l’arbre sous lequel on vient s’appuyer ou se reposer.
Malfiros à son franc parlé. Si quelque chose le gène, il le dira sans détour mais toujours en argumentant. Il à horreur des trucs genre « je ne suis pas d’accord. » qui ressemble plus pour lui à une conversation de comptoir. Aussi, essaye t-il toujours de compléter ses propos aussi surement qu’il le ferait pour un rapport détaillé. De nature à être assez bon orateur, cela lui vaudra d’être considéré de façon moins énigmatique. Tout comme les geishas étudie l’art de faire la conversation, Malfiros à étudié l’art de convaincre et de rassurer. Même si il est bon meneur, ses supérieurs trouve en lui une épaule sûre tout comme ses amis. Malgré cela peu de gens connaissent vraiment le personnage au final, préférant s’effacer pour permettre à ses proches d’exprimer leur sentiments sans y interférer à moins que cela ne froisse son étique.

Le jeune homme n’as pas peur de regarder les choses en fasse, que se soit un mort, la détresse, les larmes d’une femme ou d’un enfant. Si certains dans cette situation sauront bien détourner le regard, lui tout au contraire en tirera tout ce qu’il peut. Froideur ? Oui, indéniablement du moins en apparence uniquement. Le garçon à tendance à vouloir tout se rappeler, l’amertume de la guerre, chaque mort qu’il à côtoyer pour retenir les leçons et ne pas oublier comme beaucoup.

Malfiros aime lire, il ne sera pas rare de le croisé un livre à la main. Manuel militaire ? Oui, il en a mais ce n’est pas ca lecture préférer, se rabattant plutôt sur les vers de Rimbaud ou Verlaine

Armes, vibrez ! mains admirables, prenez-les,
Mains scélérates à défauts des admirables !
Prenez-les donc et faites signe aux En-allés
Dans les fables plus incertaines que les sables.
Tirez du rêve notre exode, voulez-vous ?
Nous mourrons d'être ainsi languides, presque infâmes !
Armes, parlez ! Vos ordres vont être pour nous
La vie enfin fleurie au bout, s'il faut, des lames.

Histoire:
Malfiros est issue d’un couple d’immigré des plants venant chercher la quiétude dans le froid hivernal des terres du nord. On ne sait que très peu de chose sur ces derniers étant donné qu’ils sont morts lors d’un naufrage sur un bateau dans le golf de Botnie. En fait se sont les expéditions militaire de secoure qui ont retrouvé l’enfant dérivant sur un petit canot de sauvetage. Il y eut quelques survivants bien sûr mais les parent du bébé n’en faisaient pas partie. L’eau étant très froide, les conditions de survie une fois dans l’eau et même pour un très bon nageur, avoisine les quelques minutes tout au plus. Ce faisant, le petit bout de chou devint orphelin et par le fait, puisque personne ne connaissait son identité, devint pupille de la nation ou pour être plus exacte, pupille du royaume. Garçonnet, il grandit donc dans un orphelinat mais en cette époque ou le politique était trouble et les guerres faisaient rages, il était fréquent d’enrôler les orphelin dans l’armée. Dépourvut de famille et ne pouvant pas être toute leur vie dépendant des structures d’orphelinats, l’armée offrait donc la possibilité d’avoir un salaire correct et d’être nourrit logé et blanchit. Evidement, il fallait se battre mais c’était le prix à payer.

Malfiros se retrouva donc entre les mains de l’instructeur Siegurd Torim, un major connue pour son efficacité à se faire « écouté » des tous jeunes. Le garçon passa donc sa jeunesse sous cette coupe faite de rudesse, il n’était du tout mal traité pour peu qu’il sache obéir aux ordres. Les formations basique de close combat, maniement des armes etc, furent donc assimilés très jeune. Pour ce qui est des entrainements aux MS, le major avait une technique bien à lui, assez original mais qui semblait donner des résultats. Et d’ailleurs, c’est tout ce qu’on lui demandait. En effet, les jeunes pilotes devaient apprendre à piloter des Mobil Siut de vielle génération. Des machine très dépassé ou presque tout devait se faire à la main et à l’instinct. Siegurd disait « Qui peut le plus peut le moins ». Ce qui signifiait en fait que si un pilote pouvait manœuvre habillement une vielle machine complètement pourrie et dépasser, il lui serait aisé de profiter des améliorations technologiques de façon optimum. Et que, si ces dernières venaient à faire défaut, le pilote pourrait s’en sortir sans. Bien sûr, les pilote n’allaitent pas se contenter de cela toute leur vie et passèrent sur des model récents pour en apprécier toute la manœuvrabilité et connaître les possibles options. Cependant, avant d’en arrivé à ce stade, il se produit un événement grave dans la vie du jeune garçon.

Un beau matin d’été, comme à l’accoutumé, les cadets s’entrainaient sur les modèles anciens. Ces derniers y allaient à tour de rôle sur deux machines en vue de combat corps à corps terrestre. Malfiros, venait de monter dans un MS à son tour ainsi qu’un autre cadets. Il envisageait déjà les possibles manœuvres pour prendre le pas sur son adversaire. A plusieurs mètres, se tenaient ses camarades, ainsi que le major qui avait le rôle de commentateur auprès des jeune spectateurs et expliquait l’utilité de telle ou telle prise en observant les pilotes. Tandis que chacun allaient de ses encouragements envers Malfiros ou son camarde et adversaire Jonathan Miriaros, l’alerte se fit entendre. Un mystérieux mobil suit terroriste fit sont apparition dans les airs. Il chargea droit sur la base à toute vitesse. C’était un modèle nettement supérieur aux vieux engins dépourvus de système de vol des recrues. Personne eut le temps de réagir qu’il avait déjà pénétré la base et attaquait tout ce qu’il voyait. Malheureusement pour eux, les cadets furent les premiers à écoper. Sortant une épée de sa jambe droite, l’intrus fonça sur le MS de Malfiros et le pourfendit, le vieille engin tombât aussitôt. Jonathan en profita pour sauter sur l’assaillant mais il était bien trop lent. Il vit son cockpit et lui avec, s’ouvrir en deux sous la massive épée. La panique pris les cadets tandis que l’étranger commença à les écraser sous la pression des pieds de son engin de destruction. Quelques minutes plus tard, les soldats plus expérimenté et surtout avec des appareils modernes firent leur apparition et abattirent l’attaquant. Ce jour là, la base de Kaskinen sur la plage finlandaise dans le golf de Botnie connu un drame sans précédent. Il fallait comprendre que c’était une toute petite base tranquille et qu’elle servait avant tout à l’éducation militaire des jeunes. Les défense n’y était donc pas importante et elle n’était pas non plus d’une grande importance stratégique. Ce n’était pas tant le faite du nombre de mort qui importait mais plus le fait de s’attaquer à une jeune génération qui avait la vie devant eux et portant tous les espoirs. Lorsque les secours arrivèrent le spectacle était atroce, impossible de reconnaitre les corps écraser par la pression énorme du MS. Lorsqu’ils virent l’appareil de Malfiros, ils avaient déjà abandonné tout espoir. Le cockpit avait été fendu sur un coté, Malgré cela, les outils pour découper la partie contenant le pilote firent vite leur œuvre. En ouvrant, la vision du cadet une grande estafilade sur le torse ne laissait rien présagé de bon. Par miracle, il était en vie mais gravement dans le coma il fallait donc faire très vite.

C’est ainsi que Malfiros resta presque quatre moi dans le coma. A son réveille, personne n’était présent et seule la douleur lui tenait compagnie. Prit en charge un bon moment à coup de morphine, ce fût Siegurd le premier à lui rendre visite de l’extérieur. Ce dernier poussa un long soupir avant de s’assoir à côté du lit du garçon. Suivit alors un monologue sur ce qu’il s’était passé. Dans leur malheur, les soldats étaient intervenus assez rapidement car le MS inconnu était bourré d’explosif pour faire sauter la base. Il s’agissait en réalité d’un petit groupe terroriste fanatique se servant de kamikaze. Là n’était pas le plus grave, ce fût surtout la liste des noms qui défilèrent devant les yeux du cadet lorsque le major lui tendit le rapport sur cette attaque qui affecta le plus Malfiros.

« Malfiros, je n’irais pas par quatre chemin mon garçon. Tu aurais du mourir avec une telle blessure. La chance à voulu que la pointe de l’épée ne fasse que t’effleurer. Evidement, reporter à la taille d’un MS c’est le genre de chose qui peut être fatal. Alors un conseil, t’es un coriace et l’apitoiement sur tes compagnons ne servira à rien. T’as une chance incroyable, ne la gâche pas en ruminant sur les morts, même si c’est officiellement ta première expérience du feu. »
Des paroles pas vraiment réconfortantes mais qui étaient clairs. Continué à vivre.

Cela faisait plus de dix mois que le jeune soldat était à l’hôpital et dans le font, ce qui le rendait triste c’était de ne pas avoir put dire adieu à ses compagnons. Il vint se recueillir sur la tombe de chacun d’eux déposant un perce neige. Comme ces fleurs, il fallait du courage pour percer la neige ou bien les épreuves. C’est à partir de se jour que le cadet devint plus renfermer, il porterait cette marque à vie.

Les années passèrent et il s’entraina aussi bien sur les MS pour acquérir la force nécessaire pour protéger sa nation que le maniement des armes et l’administration. Petit à petit, ses supérieurs le détachèrent d’ailleurs de sa passion pour les armures mobiles. En effet, ils voyaient se profiler avec le temps un stratège et un homme de loi. Aussi, malgré ses talents de pilote toujours en alerte il se vu offrir une place dans les police militaire. Ce qui le déboucha plus tard au grade de commissaire lieutenant. Les lois, leurs applications et l’objectivité rendaient le garçon brillant. Evidement, il n’était pas parfait et on sentait bien une certaine lassitude en lui à voir la moral bafouée, les gens mourir pour des bêtises même sur le front. Après avoir mené déjà pas mal de mission en temps que militaire et en temps qu’investigateur, une option s’ouvrit à lui. La paix étant instaurée officiellement, le royaume de Scandinavie voulait améliorer ses relations d’avantage encore notamment avec Orb. Aussi, Les supérieurs décidèrent d’envoyer Malfiros dans d’autres horions, militaire d’Orb ou chez ZAFT voir sur Archangel (puisque la Scandinavie à offert l’asile en eau territorial pendant la dernière guerre). Sa mission était simple, donner aide et assistance aux nations amies afin d’améliorer les relations. Le jeune homme se demanda alors : pourquoi ? C’était d’avantage le travail des ambassadeurs, ce qui n’était pas faux. Mais une réponse très franche lui fût donné à cette remarque. Les dirigeants de l’armée scandinave bien que ne dédaignant aucunement le travail des ambassadeurs, les jugeaient trop politiciens. Pour eux, et pour mieux comprendre les forces armées, mieux valait envoyer un soldat avec la connaissance juridique et l’envie d’honorer son pays, c’était plus judicieux. De plus, il pourrait aider l’administration militaire des autres nations en cas de procès. Pour être plus clair, on ne pourrait remettre en cause son objectivité dans une affaire puisqu’il serait neutre et affilié à aucun parti. Naturellement, il ne s’agit là que d’une option pour les nations alliées d’avoir recours ou non à un administrateur étranger. C’est donc ainsi que le jeune homme commence son périple avec l’assurance en cas de succès d’être anobli.

NDR : Petite note ludique ; je reste volontairement flou sur les origines de Malfiros afin de donner la possibilité d’y introduire certains éléments scénaristique en cas de besoin.

Fonction: Pilote/commissaire militaire

Vaisseau: Je veux bien être affecté à un vaisseau durant un temps si cela peut arranger nos cher administrateurs.

Invité

Test RP :

Malfiros était dans sa chambre. Cela faisait quelque mois, qu’il avait été affecté à cette base afin de dénicher cette étrange trafique interne dont lui avait parlé ses supérieur. Ho, rien de bien méchant, quelques paquets de cigarette et des tracts antiroyaliste. Pour résumé, rien de bien nouveau. Pourtant, le royaume de Scandinavie ne pouvait tolérer ce genre de propagande dans ses rangs. Surtout, si un nouveau conflit éclatait. Il avait été affecté en temps que simple soldat pour ne pas éveiller les soupçons. Dans sa chambre un autre soldat avec qui il partageait le lieu. De nature assez sympathique, ce dernier s’entendit tout de suite avec Malfiros. Le jeune commissaire était en train de plier ses habits de rechange. Les plis devaient être impeccable pour ne pas froisser le tissu mou qui sentait une légère odeur de rose dut sans aucun doute à la lessive utilisé. Après avoir soigneusement exécuté son ouvrage, le jeune homme ouvrit un placard de rangement et commença à empiler ses affaires. Le deuxième classe Tagart rentra dans chambre, délivrant un : « Salut » Des plus conviviale. Puis, prenant une chaise, il s’assit nonchalamment tout en observant sont collègue de chambre ranger ses vêtements.

-« Bon sang, j’ai jamais vu quelqu’un prendre un tel soin pour plier et ranger ses vêtements. T’es une vrai gonsesse Malfi. A quand le ménage ? »

Tagart avait prit l’habitude de charrier son coéquipier sans grande méchanceté. C’était juste pour le faire tiquer un peu histoire de l’embêter.

-« Oui, oui et bien, chacun sa part. Et puis après tout, tu ferais mieux de le faire aussi parce que si non, tu ne risques pas d’en trouver des (gonsesses) comme tu dis ».

Le deuxième classe éclata de rire. Pour lui, seul le prestige de l’uniforme ferait tourner la tête des filles. Il n’avait donc pas besoin de se donner tant de mal. Reprenant son sérieux, il se leva et se dirigea vers Malfiros. Il posa une main sur son épaule en souriant chaleureusement. Ses yeux bleus étaient plissés comme ceux d’un enfant souriant tandis que des cheveux noirs en bataille lui donnaient un air sauvage de mauvais garçon. Le commissaire qui était dos à lui se retourna tandis que Tagart poursuivit :

-« Je dois te remercier, si tu ne m’avais pas prêté un de tes pantalons, le sergent m’aurait tué sur place. »

Malfiros avait toujours du mal avec le contact humain, le simple fait qu’on pose la main sur lui le rendait mal à l’aise même si il ne le montrait pas. Aussi, il retira doucement la main de son camarade et répondit de façon aimable.

-« Allons, c’était bien normal et puis souvient toi c’était entièrement de ma faute. Si je n’avais pas prêté mon stylo, il n’aurait pas éclaté. J’aurais dût te dire que les plume de chez Arkena sont très fragile. »

-« A ben tu m’étonnes, à peine j’écrivais que le truc c’est cassé en deux et que mon falzars c’est retrouver avec une belle tache bleu… Bon d’accord c’est un bleu marine mais je ne pensais pas me faire un uniforme naval pour autant. Allez viens, je te paie un coup à boire à la cantine des troufions que nous sommes.»

N’en ajoutant pas d’avantage, les deux garçons sortir pour emprunter le long couloir menant au réfectoire. En chemin, Tagart ne manqua pas d’essayer de dérider son compagnon en apportant quelques commentaires et quelques sifflets au jolie femme soldats croisant leur chemin. Après tout, c’était de leur âge et si certaine des ses jeune femme s’en trouvèrent flatté, d’autres eurent tôt fait de prendre la mouche. Malfiros ne disait rien, restant rigide et ne sachant que faire face à un tel manque de convenance. Mais, quelque part, c’est un peu pour ça qu’il aimait bien son camarade.

Arrivé dans le réfectoire, ici et là se tenait des hommes et des femmes, prenant un moment de repos pour parler et siroter un verre bien tranquillement. Les deux jeunes gens se mirent au comptoir. L’atmosphère y était calme et le soir arrivait. Au travers des baies vitrées, le soleil ressemblait à une demi sphère rouge se couchant sur un par terre de neige blanche qui avait tendance à éblouir. En Scandinavie, rare était les jours sans neige et on en appréciait d’autant les coins chaud et agréable. Un fine musique d’ambiance se laissait écouter en arrière fond, c’était du Jazz des année de la prohibition. Une époque plus que révolue mais dons là musique demeurait malgré tout comme la trace d’un éternel passage. Les deux amis était accoudé et bien au contraire de l’exutoire dont faisait preuve Tagat dans les couloirs, il le dit plus un mort. Il fallait dire que la cantine était d’un décor rétro assez sympathique sans être ringard et le barman avait pris soin de revêtir une chemise blanche ainsi qu’un petit gilet à la mode des garçons de café.

-« Alors, qu’est ce que je vous sert ? »

Une phrase rhétorique sonnant comme un leitmotiv dans tous les bars du monde.

-« deux Siffans… »

Avait répondu Tagart dans le même élan que le moment où le barman avait finit sa phrase. Le temps était suspendu et Malfiros n’avait toujours pas décroché un mot. Il regardait du coin des yeux, le soleil ce coucher. On ne pouvait regarder cette scène de façon tant le neige reflétait le soleil jusqu’à ses derniers rayons. Il le savait. Demain verrait n’être la fin de sa mission. Il ne viendrait sans doute plus ici pour boire un verre avec les secondes pompes. Il redeviendrait le Commissaire-Lieutenant Malfiros, Agent de la police militaire plus basiquement appelé le CLT de la PM… Le temps avait vite passé. Trop vite même, pour une fois, cette base avait été accueillante même pour un troufion. Pourtant, des gens c’était évertué à y semé le désordre. Trafic que bien et d’influence qui égrainait en silence ce lieu, éveillant les soupçons des uns et des autres pour savoir à qui l’on pouvait faire confiance ou non.

Devant la porte d’entré de la cantine, un berger-allemand s’assit tranquillement dans l’encadrure de la porte. Il savait qu’il ne pouvait pas entrer dans ce lieu. Son maître lui en avait interdit l’accès tout comme le fait de manger dans une autre main que celle qui la nourrissait habituellement. Le chien était donc assis, attendant peut-être une caresse, ses yeux grands ouverts et la gueule entrebâillé laissant place à un halètement continuelle rapide pour se rafraichir. Malfiros détourna le regard du soleil et regarda le fond de son verre. Le liquide violacé tournait légèrement laissant un minuscule dépôt sur les parois du contenant. La lumière de la salle donnait un aspect brillant à la Siffan qui avait un gout sucré. Toujours plongé dans son verre, le jeune homme reprit.

-« Demain, je ne serait plus là. Je vais partir, Tagart… »

-« Hein ? Quoi ? T’es pinté mon gars. On ne quitte pas l’armée comme ça sur un coup de tête. Tu t’es engagé, il faut que tu tiennes. La désertion est un crime militaire tu sais ça ? »

Le commissaire reprit toujours aussi calme.

-« Je ne suis pas soldat… Je suis Comissaire-Lieutenant, un CLT si tu préfères. J’ai été envoyé ici pour régler une affaire de trafic et démanteler un réseau antiroyaliste dans la base. »

Tagart ouvrit grand les yeux de surprise.

-« Pas possible, toi ? Et alors ? Si tu parts, je suppose que tu as réussit la mission qui t’avait été confié non ? Enfin, je veux dire… »

Le jeune deuxième classe sauta de son tabouret et se mis au garde à vous. Il reprit :

-« Pardon monsieur le Commissaire… 2em classe Tagart Fendrix. Je voulais juste savoir si votre mission c’est bien passé M’sieur »

Malfiros se leva à son tour. Il prit son insigne de Commissaire dans sa poche et l’agrafa à son veston, preuve qu’il ne mentait pas. Et même si Tagart avait eut un soupçon sur le sérieux de ses révélation. Le doute ne lui était plus permis. Malfiros lui rendit son salut et il répondit doucement avec une voix audible mais douce.

-« Oui, Ca s’est bien passé… Repos soldat… En ce moment même la PM fouille et confisque les petite machine à imprimé du réseau et on pût arrêter tout les concernés. Ce n’était pas si facile mais un soldat nous y à aidé. »

-« Un soldat ? ca veux dire que votre couverture à été perçut par un autre soldat si il vous à contacté pour vous aider. »

-« Non, pas exactement. Voyez vous, ce soldat nous à aider sans le savoir. Il était fréquent pour lui de sortir de ses cartiers la nuit, à l’insu des patrouille de garde et de rejoindre le bâtiment d’impression de ces tracts »

Le vouvoiement entre les deux hommes dût à la hiérarchie c’était instauré naturellement. Ce n’était pas facile car il avait vécu un bon moment ensemble et avait partagé des confidences et des verres.

-« seconde classe Tagart Fendrix, je vous arrête »

L’ordre avait été donné et toute la cantine avait retenu son souffle en entendant ses mots forts et clairs.

-« Hein quoi ? Qu’est –ce que c’est que ces conneries ?

-« Je suis désolé seconde classe mais c’est vous qui nous avez amené à ce lieu. Vos petites escapades, si elles ont été discrète, nous on laissé un indice suffisant pour remonter votre piste… Le pantalon… J’avais volontairement lavé mes affaires avec une lessive à l’odeur bien distincte. Lorsque vous êtes sortit la nuit dernière et que vous avez mis le pantalon que je vous ai prêté, tout fût très simple. Si j’avais mis un mouchard, vous l’auriez sans doute trouvé avec un détecteur de métal de petite taille mais là… Une simple odeur… Votre pisteur fût ce chien qui n’eut aucune difficulté à vous suivre. »

Juste à côté de porte dos au mur, deux soldat le police militaire c’était caché. Ne laissant que le chien devant la porte pour empêcher toute fuite. A la mention de l’arrestation, ils étaient entré dans la salle passant de chaque côté du canidé et venant se placé près du soldat Fendrix.

De leur côté, Les deux anciens camarades échangèrent un dernier regard. Chacun avait eut ses convictions, travaillant pour l’autre camp en secret. Malgré cela, aucune animosité ne fût perceptible entre eux. Ils avaient fait ce qu’ils considéraient comme leur de voir. Rien de plus.

Plus tard, Malfiros retourna dans sa chambre. Il sortit une mallette du placard là ou quelques instants plutôt, il avait rangé ses affaires. Il passa au bureau des officier et se dépêcha de faire un rapport complet au dirigeant de la base qui le congratula. La nuit fût longue, très longue, un procès appelé « la soudaine » avait eut lieu durant la soirée. Au petit matin, Malfiros remis à sa ceinture son arme de service et son sabre, preuve de son statut. Il passa à travers la longue cours enneigé où chaque pas faisait craquer le manteau blanc. Une valise à la main, il passa les immenses portes de la base, laissant le vent s’engouffré dans son ciré de cuire noir qui claquait à chaque bourrasques. Derrière lui, à une cinquantaine de mètre tout au plus, on pût entendre.

-« En joue… FEU ! »

Et seules les déflagrations des fusils purent mettre un point final à cette histoire.

[HRP: Je suis ouvert à toutes critiques, pourvu qu'elles soient constructives]

Invité

Ma parole tu es partout XD

Bienvenue!

Invité

Coucou^^

Oui, je suis partout, enfin presque. Non en fait, comme personne ne répondait, je me suis dis que ce fofo était peut-être mort.

Invité

Et bien, ces rare d'avoir des membre qui se disent officiellement dans des "Sous Faction" (Sens vouloir t'offenser), le monde prend généralement pour acquit que les neutres ces ORB, les naturelles ces l'EAF et les coordonnateurs ces ZAFT, ravis de voir qu'il y a quelqu'un qui vois plus que sa la dedans.

...Et en effet, oui, ce fo est en fase terminal, dommage, tu m'avait l'air d'un gars vraiment sympatique, qui sais comment faire des RP avec une imagination que je ne voix pas souvent... On se reprendra ailleur peu être...

Invité

Avec plaisir pour ma part.

Oui, je trouve ca dommage que les factions mineurs ne soit pas exploitées. Bon, d'un côté, je comprend cela puisque les fans ont tendance à vouloir être "près" de leur héro. Mais d'un autre, cela permet de lancer plein de possibilitées scénaristiques sans forcément déclancher la 578ème guerre mondiale.^^

J'ai plus pour habitude de prendre des persos sortant des sentiers battus. Ho, je n'ai rien contre ceux voulant intégrer une grande puissance. Mais essayer de monter sa propre histoire en affectant un petit pays dont personne se soucie et qui au final ne détournera pas l'histoire officiel du manga, je trouve ça grisant. :p

Invité

Moi je prend généralement les grand pays mais par compte, il faut se souvenir que dans l'EAF il n'y a pas qu'une seul nation se nomment "EAF", il y a la fédération atlantique, les eurasien, les asiatique... Et il y a une lute constante pour le pouvoir, l'unité n'étant pas une chose absolu... J'aime sa ^^

En effet, il est dommage que le monde est tendance a rapporté les choses au plus simple, EAF = Méchant, ORB = Neutre, etc.

Une autre chose que je trouve dérangeante également sur les forum, ces la tendance a la "Stagnation", le modelle général étant "Telle faction terroriste fout la merde, l'EAF déclare la guerre et ORB se fait attaquer régulièrement"... Sens compter la politique "Il y a eu la paix, les armes n'on donc pas évoluer" que je trouve pas mal, excusé moi l'expression, conne... Franchement, les possibilité que l'on suivent de telle choses me parait ridicule...

Invité

Disons que même en temps de paix n'importe quel pays fait évoluer son armement. Sur ce point Durandal dans les premiers épisodes de GSD marque un gros point. On sait très bien que les terrorites arrivent toujours à un moment donné à avoir une technologie suffisante pour menacer. Aussi, la modernisations constante des armes n'est pas une abération.
Cas concret si on prend les ordinateurs, les virus deviennent de plus en plus sofistiqués et donc les anti-virus doivent être à la hauteur. Le hacker n'a plus qu'à trouver un virus encore plus puissant et c'est donc une spirale montante continuelle.
Maintenant si on parle à l'échelle mondial, historiquement parlant la seule chose ayant endigué une crise économique c'est la guerre. C'est terrible de dire ça mais même les politique n'ont jamais fait mieux en matière de relance économique. Il n'est donc pas étonnant de voir l'armement progresser. Après, si on replace dans le conterxte, gundam est un univers fantastique.
Mais tu as raison de dire qu'on assimile trop à orb = gentils neutres peace and love etc... C'est avant tout un problème d'individue. On peut être d'ORB et être un pourri tout comme on peut être de l'EAF et ne pas être fanatique antit PLANTS. lol!

Invité

Pour moi c'est du bon rp, mais le forum vas bientot fermé ces portes... Donc je suis désoler ^^' Mais un nouveau et en construction, une toute nouvelle univers, sans des Kira ou autre de SEED ou destiny ^^' Donc a la prochaine Wink

!